Les types d'eau: l'eau parfaite selon la bioélectronique
de Vincent (BEV) et d'autres critères !
La perfection est-elle de
ce monde ? La perfection était dans l'eau mais nos pollutions et
maltraitances l'ont quelque peu déstructurée... Comment lui faire
retrouver sa beauté et sa vitalité originelle ? Sur quels critères
juger de sa qualité ? La bioélectronique de Vincent (BEV) nous offre une
approche scientifique d'une grande rigueur via trois analyses: le pH
(potentiel hydrogène), le rH2 (potentiel d'oxydoréduction) et la
conductivité c'est à dire la teneur en minéraux. Sur un bioélectronigramme
des eaux, l'eau parfaite se situe en terrain 1, acide et réducteur,
celui de la vie et de la santé, la zone des forces vitales, riche en
protons et en électrons. L'eau du robinet sera quant à elle en terrain 3,
alcalin et oxydé, zone des forces de dégradation de la vie, qui comporte peu
de protons et peu d'électrons. Nous sommes donc généralement loin de la
perfection mais des solutions heureusement existent pour s'en rapprocher!
Découvrez la formidable technique d'analyse de Louis-Claude Vincent et et du
Dr. Jeanne Rousseau ainsi que d'autres critères de qualité sur eaunaturelle.fr
VERS L'EAU "PARFAITE"
« Le culte de l'eau pure fut le premier culte des hommes,
car c'était celui de la vie et de la santé »
Louis-Claude Vincent, 1979
► L'eau parfaite selon la Bioélectronique Vincent (BEV) ► L'eau parfaite
selon d'autres normes qualitatives
► L'eau colloïdale ? ► Vers l'eau parfaite chez soi
Vidéo:
La qualité de l'eau
(5'18)
Avec l'eau "parfaite", nous franchissons la dernière étape et dépassons les
solutions intermédiaires pour nous intéresser aux approches les plus
abouties à destination des puristes, de ceux qui ne se satisfont que du
meilleur. L'eau "thérapeutique" ne pouvait être consommée que sur de courtes
périodes. L'eau "vivante" n'était pas forcément dénuée de polluants. L'eau
"pure" - l'eau distillée - est impropre à la consommation car par trop
"vide". Qu'est-ce donc que l'eau "parfaite" ?
Adosser à l'eau un tel adjectif, c'est évidemment prendre le risque de lui
plaquer un certain nombre de préjugés. Naturellement, l'eau est parfaite:
rien n'a à lui être ajouté, rien n'a à lui être retiré. Elle n'a besoin de
personne pour donner la vie, elle est son propre référent, son propre
Acteur.
Les peuplades vivant dans les endroits les plus reculés de la planète -
comme par exemple les Hunzas du Haut-Pamir au Pakistan, dans les lieux où
l'eau n'a encore eu aucun contact avec la "civilisation de la pollution" -
bénéficient d'une telle eau et présentent un état de santé et de vitalité
particulièrement remarquable. Ils vivent généralement plus que centenaires,
atteignant parfois les 150 ans.
Parler d'eau "parfaite" revient ainsi à essayer d'établir un cahier des
charges de ce que serait l'eau idéale du point de vue de l'organisme, de la
santé et de la vitalité. C'est ce que l'ingénieur hydrologue Louis-Claude
Vincent et le Dr Jeanne Rousseau ont tenté de définir via la notion de
bioélectronique.
L'eau parfaite selon la Bioélectronique Vincent (BEV)
Selon l'Association ABE, promoteur naturel de la bioélectronique,
"L'application de la Bio-Electronique à l'étude systématique de l'eau met en
évidence un aspect dynamique de l'élément liquide qui n'est pas pris en
compte par l'analyse classique : l'eau est jugée à état statique, sur des
critères chimiques, qui ne traduisent pas ses facultés d'adaptation aux
variations du milieu vivant.
L'eau possède en réalité une individualité biologique liée à trois facteurs
distincts :
La nature du milieu dans lequel elle circule, donc facteur chimique.
La vitesse d'écoulement dans le milieu en question, donc facteur cinétique.
La température, donc facteur thermique.
L'eau dans l'organisme existe en outre sous deux formes différentes :
L'eau liée, intégrée aux structures moléculaires.
L'eau libre ou circulante (sang, lymphe), assurant à la fois l'apport
nutritif aux rouages mêmes de la vie et l'élimination des inévitables
déchets (urine, sueur).
Eau libre et eau liée différent par leurs potentiels respectifs tout comme
différent dans la nature les eaux vives et les eaux stagnantes, ceci
constituant une bipolarité de la matière et assurant un équilibre
morphopsychologie oscillant, qui conditionne lui-même l'état de santé." Il a
ainsi été démontré que, dans un cours d'eau naturel tel qu'une rivière,
l'eau avait la capacité de s'auto-nettoyer sur quelques kilomètres
seulement.
Selon Roger Castell, "La bioélectronique se fonde sur l'étude des charges
magnétiques positives des protons et des charges négatives des électrons.
Elle s'intéresse donc à la composition physique et atomique de la matière
vivante et aux interactions électromagnétiques. Elle se situe bien au-delà
de la composition moléculaire généralement utilisées en biologie. Elle
permet donc d'élargir et de mieux comprendre tous les phénomènes liés à la
vie."
Selon le site du professeur Joseph Országh, l'eau biocompatible "est
faiblement minéralisée, légèrement acide et possède un caractère redox
indifférent ou légèrement réducteur, jamais oxydant (par rapport à l'eau
chimiquement pure)."
Traduit en chiffres, l'eau biocompatible "parfaite" ou "idéale" devrait
avoir les caractéristiques bioélectroniques suivantes:
légèrement acide (pH compris entre 5,5 et 6,8)
aussi peu minéralisée que possible (résidu sec inférieur à 120mg/L voire
moins de 50 mg/L., tout en n'étant pas totalement vide afin d'être en mesure
de structurer l'eau.)
eau antioxydante, neutre ou légèrement réductrice (rH2 compris entre 25 et
28)
résistivité supérieure à 6 000 ohms (mais inférieure à 50 000 ohms, aucune
eau naturelle n'étant aussi pure)
Comme le précise le livre de Roger Castell « très peu d'eau en France
répondent à ces critères! » Idem en Suisse ou en Europe. La raison pour
laquelle les pouvoirs publics ne font pas la promotion de la bioélectronique
? Les traitements chimiques favorisent en effet l'alcalose et l'oxydation.
Qu'est-ce que le pH ? Le pH ou Potentiel Hydrogène mesure la capacité
énergétique d'un milieu (sa charge en proton (H+) et son caractère acide ou
alcalin. L'échelle varie de 0 à 14 avec une neutralité à 7. Une solution
avec un pH inférieur à 7 est acide (riche en protons H+ et création d'un
champ magnétique positif) tandis qu'il est basique ou alcalin si supérieur à
7 (pauvre en protons H+ et champ magnétique négatif). Une baisse d'un point
de pH signifie qu'il y a 10 fois plus d'ions H+ et inversement. L'acide
gastrique a un pH de 2, le jus de citron de 2,1, le coca cola de 2,5, le
vinaigre de 2,5-2,9, le jus d'orange de 3,2, la bière de 4,5, le café de 5,
le thé de 5,5, le lait de 6,5, l'eau douce de 6,5, l'eau pure de 7, l'eau
calcaire de 7,5, la salive humaine de 6,5-7,4 selon l'état de santé, le sang
de santé de 7,1 à 7,2 (de 38 à 48 milliards de protons / mm3), le sang
cancéreux de 7,8 à 8,5 (plus que 1,9 milliards de protons / mm3), l'eau de
mer de 8, le savon de 9 à 10, l'eau de javel de 12, la chaux de 12,5 et la
soude caustique de 13 à 14.
Qu'est-ce que le rH2 ? Le rH2 ou facteur d'oxydoréduction ou facteur
électrique mesure le taux en électrons d'un milieu et sa capacité
régulatrice. L'échelle varie de 0 à 42 avec une "neutralité redox" à 28,
correspondante à l'eau chimiquement pure. Une solution avec un rH2 inférieur
à 28 est réductrice (riche en électrons qu'elle cèdera) tandis qu'elle est
oxydante entre 28 et 42 (pauvre en électrons qu'elle captera). Or, selon
Jacques Collin, "L'absence d'électrons c'est la mort thermodynamique de la
machine humaine qui ne peut plus métaboliser les nutriments [...] Pour
métaboliser le sucre, l'organisme doit fournir deux électrons par molécule."
"La base de la vie se nourrit d'électro-négativité!" [...] "il y a donc lieu
de rechercher la richesse électronique de l'eau" Une telle eau apportera
ainsi des électrons au lieu de les prendre. Les graines germées ont un rH2
de 4, une salade bio de 12, un jus d'orange de 17, l'eau du robinet de 34
(en moyenne mais parfois beaucoup plus!), l'eau de javel de 40. Le sang
d'une personne en bonne santé aura un rH2 de 21-22 (10 millions d'électrons
/ gramme) tandis qu'une personne atteinte de cancer aura une mesure de 28
(plus que 1 électron/g!)
Qu'est-ce que la résistivité (rô ou rho) ? La résistivité (symbole ρ) ou
facteur diélectrique est le contraire de la conductivité et représente la
capacité d'un milieu à ralentir le passage d'un courant électrique. La
résistivité est exprimée en ohms (Ω). La conductivité est exprimée en
Siemens par mètre (S/m). Une résistivité basse (conductivité élevée) traduit
une forte concentration moléculaire et donc, au niveau de l'eau, une forte
concentration en minéraux. Une résistivité élevée traduit une faible
concentration en minéraux et une bonne résistance aux inductions
électromagnétiques et cosmiques. La raison de l'hypersensibilité de
certaines personnes aux ondes électromagnétiques ? Le rô sera donc
directement lié à la mesure des résidus à sec exprimés en mg / litre. Un
sang en bonne santé a un rô de 210 Ω.cm. Un sang de cancéreux un rô de 140
Ω.cm.
Ces trois mesures donnent en effet un instantané de l'état de santé et de
vitalité des substances testées.
Amis cartésiens, bonjour! « Avec la bioélectronique, on aboutit à une
médecine de diagnostic et de thérapeutique devenant rigoureusement
scientifique [...] C'est à la source même de la vie et à son maintien en
équilibre que s'adresse la bioélectronique, avec une sûreté et une
instantanéité totales, conduisant à une maîtrise absolue, en vue, à la fois
de la guérison et de la prévention » écrivait Louis-Claude Vincent en 1969
dans son livre Le paradis perdu de Mu.
Nous vous épargnons ici les formules mathématiques du potentiel redox (E)
reliant le pH au rH2 et de la quantification énergétique de Vincent (W), mis
au point par Vincent et affinés par le Professeur Joseph Orszàgh (définition
scientifique des paramètres BEV) et qui permettent - rien que cela! - de
déterminer l'âge bioélectromagnétique d'un individu via les mesures du sang,
de la salive et de l'urine.
Arrêtons-nous plutôt sur le Bioélectronigramme des eaux selon Louis-Claude
Vincent dont voici deux exemples:
Le terrain 1 (acide et réducteur) est celui de la vie et de la santé, la
zone des forces vitales, riche en protons et en électrons. Les Anciens
appelaient "asclepia acida" cette approche des soins à base d'aliments
acides et réducteurs, donneuse et riche d'électrons. "C'est le lieu des eaux
potables de qualité et des eaux thermales à la source. On y trouve aussi les
ferments, produits lacto-fermentés, enzymes et vitamines naturelles" précise
Richard Haas, ainsi que le vin, les graines germées, les jus et fruits frais
de l'agriculture biologique ou encore le pain complet au levain, bref, les
aliments les plus vitalisants pour l'organisme!
Le terrain 2 (acide et oxydé), zone des forces de conservation, comporte
beaucoup de protons mais peu d'électrons. Selon Richard Haas,
bioélectricien, "C'est le milieu favorable aux champignons, mycoses, lichens
de l'aigre et celui des antibiotiques. Les aliments non vitaux se situent
dans cette zone, comme les produits alimentaires cuits, industriels, de
conservation (stérilisation), les fast-foods. Il n'existe aucune eau
naturelle sur ce terrain."
Le terrain 3 (alcalin et oxydé), zone des forces de dégradation de la vie,
comporte peu de protons et peu d'électrons. Selon Richard Haas, c'est le
"terrain de l'homme moderne", un milieu favorable aux virus, aux maladies de
civilisation, au sucré et aux vaccins. On y retrouve l'eau du robinet
traitée et stérilisée (chlore-ozone). "Il y a 40 ans, le Dr Boyer, de la
Faculté de médecine, parlait déjà "d'une eau de canalisation, et non plus
d'eau potable, ne pouvant être consommée, à la longue, sans inconvénient
pour la santé" rappelle Patrice Stegmann. "Nous avons tué le microbe, mais
nous avons réveillé en même temps le virus et cela est mille fois plus
grave" dénonce Richard Haas. "Les mesures bioélectroniques montrent que les
coordonnées du sang des cancéreux au dernier stade de développement de la
maladie, sont identiques à celle d'une eau de ville désinfectée au chlore"
précise le site de référence www.eautarcie.org
Le terrain 4 (alcalin et réducteur), zone des forces de destruction,
comporte peu de protons et beaucoup d'électrons. "C'est le milieu favorable
aux maladies infectieuses à microbes pathogènes, à la putréfaction, au salé
et aux algues brunes." précise Richard Haas. C'est également dans cette zone
que se situe les eaux ionisées de type Eau Kangen.
Dans le second Bioélectronigramme plus complet, l'ovale indique les limites
de la vie humaine, via la mesure BEV du sang veineux: pH de 6,2 à 9,4; rH2
de 15 à 35 et rô de 80 à 400. On y trouve une zone de "Santé Parfaite" (SP)
et un terrain propice aux cancers, dans le terrain 3, basique et oxydé.
L'eau "parfaite" selon la BEV se situe donc sur le premier terrain. Nous
pourrions simplifier en disant qu'il s'agit d'une eau de source faiblement
minéralisée et légèrement acide (toutes ne le sont pas) récoltée à la source
et donc bien vivante!
Terrain acide ou alcalin ?
On entend parfois que l'acidité est le terrain de l'homme moderne,
responsable des cancers. C'est notamment l'argument phare des vendeurs de
l'eau ionisée fortement alcaline de style Kangen.
C'est confondre alcalin et alcalinisant et oublier l'effet tampon de
l'organisme qui vise à réguler tout excès.
La Bioélectronique de Vincent nous précise en outre que les maladies de
civilisation sont plutôt le fait d'un milieu trop alcalin. "La vie ne peut
se créer qu'en milieu légèrement acide (et réducteur). Plus notre état est
alcalin, plus il est perméable aux maladies." écrit Richard Haas. De fait,
seul un milieu acide garantie la présence suffisante de protons. Le pH
sanguin d'un homme en bonne santé est de 7,2. Celui d'un homme atteint de
cancer de 7,8 c'est-à-dire plus alcalin!
Enfin, si boire une eau alcaline était bon pour la santé, nous serions tous
plutôt en bonne santé puisque l'eau du robinet est toujours alcaline, une
eau acide étant corrosive pour les canalisations Les sociétés distributrices
ont ainsi tendance à augmenter le pH de leur eau pour protéger leur
tuyauterie, sans grande considération malheureusement pour la vitalité
humaine...
L'eau parfaite selon d'autres normes qualitatives
Une eau parfaite pourrait aussi être considérée comme une eau obtenant une
note de 20/20 selon nos propres critères ! Ces critères prennent en compte
la BEV ci-dessus via la notion d'eau morte/vivante et d'impact sur la santé
mais introduisent aussi les variables de l'écologisme et de son coût.
Au final, cette note maximale supposerait les données suivantes:
aucune pollution extérieure et donc un moindre contact avec notre
"civilisation" et sa chimie
un faible taux de minéralité et donc une grande résistivité
une eau bien vivante et bien structurée
une eau ne polluant pas via son embouteillage (restons cohérent!)
une eau de consommation courante, vecteur de santé et de vitalité
une eau peu onéreuse
Les auteurs Zerluth et Gienger proposent quant à eux un tableau
récapitulatif de la qualité optimale de l'eau dans leur excellent ouvrage
L'eau et ses secrets. Nous l'adaptons quelque peu en rajoutant notamment la
dernière colonne:
Qualité chimique
Qualité bactériologique
Qualité physique
Qualité sensible
- Le moins de produits chimiques, minéraux, matières en suspension et
substances radioactives possibles.
- Une valeur de pH légèrement acide.
- Une grande résistivité.
Le moins de bactéries, virus, parasites et spores de champignons possibles.
Aucun microbe pathogène, le b.a.-ba d'une eau potable.
- Clusters (groupes de molécules d'eau) les plus petits et les moins
nombreux possible: surface interne plus grande, taille des gouttes plus
petite.
- Le plus d'énergie et de forces de capillarité et de traction possibles.
- Une valeur de rH2 inférieure à 28 (eau réductrice)
- Le moins d'information extérieures négatives possibles (ondes
électromagnétiques, paroles, images ou musique violente,...)
- Le plus d'information positive possible (amour, gratitude, musique
classique, prière,...)
Nous pourrions aussi dire qu'une eau parfaite est une eau qui répond aux
besoins de notre organisme de manière optimale. "Une eau très énergétique et
composée de petits clusters s'écoule plus facilement, notamment dans les
capillaires" précisent les auteurs Zerluth et Gienger, "Elle est plus
efficace pour désintoxiquer le corps et transporter les nutriments: sa
grande surface interne possède une capacité d'adsorption plus importante.
Dans notre corps, elle s'écoule plus facilement, elle est douce et ronde; on
est incité à en boire davantage. Une eau dotée de bonnes qualités physiques
n'est pas encombrée par des informations nocives et peut maintenir les
liquides corporels - sang, lymphe, etc. - dans un état colloïdal optimal."
Et le ressenti alors ?
Les tests effectués durant deux ans (2017 à 2019) dans notre arcade au 26
rue de la Corraterie à Genève, m'ont été précieux pour affiner mon analyse
(et me permettre d'écrire mon livre La qualité de l'eau). En voici les
constatations:
- 9 personnes sur 10 notaient une différence claire entre l'eau du robinet
et l'eau dynamisée avec une eau beaucoup plus douce et agréable à boire.
Tant pis pour les sceptiques !
- 8 personnes sur 10 préféraient l'eau du système intégral (filtre +
biodynamiseur) à l'eau osmosée puis dynamisée. Cette dernière eau,
débarrassée des minéraux, est pourtant celle qui répond au mieux aux
critères de la Bioélectronique de Vincent...
Comme quoi la théorie doit parfois s’effacer devant le ressenti de la
pratique ! Cette eau biodynamisée était jugée comme plus "nature" et plus
énergisante tandis que l'eau osmosée apparaissait comme plus "artificielle".
Bref, si la Bioélectronique de Vincent demeure selon moi la référence
scientifique pour juger de la qualité de base d'une eau, il conviendrait
d'accueillir avec attention les tests biologiques, seuls à même de prendre
en compte les aspects énergétiques plus subtils de l'eau.
L'eau colloïdale ?
Colloïde vient du grec kolla qui signifie colle (elle même colloïdale) et
désigne un état de suspension d'une ou plusieurs substances, dispersées de
manière uniforme et régulière dans une autre substance, formant de
gigantesque complexes composés de milliers voire de milliards de particules
insolubles, d'une taille variant entre 2 et 200 nanomètres. Les particules
colloïdales dégagent une charge électrique très puissante appelée potentiel
Zêta et se repoussent mutuellement.
Les suspensions colloïdales sont ainsi un état intermédiaire entre les
suspensions (mélange temporaire de différentes substances dont les
particules ont une taille supérieure à 200 nm) et les solutions vraies
(répartition homogène des particules de taille inférieure à 2 nm dans un
solvant). "Dans les colloïdes, les substances dissoutes restent des éléments
individuels parvenus à un équilibre idéal avec leur environnement."
précisent les auteurs Zerluth et Gienger. La décantation d'une suspension
colloïdale prendrait ainsi de 50 ans à deux siècles! La turbidité de l'eau
est généralement causée par des matières en suspension et des particules
colloïdales qui absorbent, diffusent et/ou réfléchissent la lumière.
Le Dr. Robert Otto Becker du Veteran’s Hospital de l’Etat de Upstate New
York, farouche opposant des ondes électromagnétiques artificielles, affirme
dans son livre The Body Electric que l’organisme est entièrement composé de
colloïdes, que chaque cellule est un colloïde. "Le corps humain est un
ordinateur colloïdal presque parfait. Les liquides du corps ont une nature
essentiellement colloïdale" écrit-il. De fait, tous les liquides du corps
(sang, lymphe, salive, etc.) sont des systèmes colloïdaux et seul cet état
stabilisé est signe de bonne santé. Dans le sang par exemple, le sang sera
visqueux si les globules rouges sont agglomérés; il sera sain si les
globules rouges sont libres et séparés les uns des autres.
L'eau est elle-même un colloïde puisque nous avons vu que la molécule d'eau
H2O s'associait à d'autres pour former des clusters, eux-mêmes baignant dans
l'eau. Selon la définition courante, une eau dite colloïdale sera toutefois
une eau chargée de colloïdes. De telles "eaux" se trouvent dans le commerce
sous forme de compléments alimentaires renfermant oligo-éléments et acides
aminés facilement assimilables... mais, vu leur coût, nous sortons
clairement du domaine de l'eau de consommation courante.
"Notre corps ne peut survivre sans colloïdes ! La biologie moderne met en
évidence que, pour être assimilés, les nutriments sont nécessairement
transformés en particules colloïdales par l'organisme. Les minéraux
ordinaires, trop grossiers pour être directement assimilables, subissent une
transformation obligatoire en particules colloïdales par l'organisme"
précisent les sites de vente de ces "eaux colloïdales". Ils ont en partie
raison mais oublient opportunément de dire que c'est l'eau vivante - plutôt
que leurs compléments alimentaires - qui assurera l'homéostasie colloïdale
de l'organisme ainsi que la transformation et le transport des nutriments.
De fait, l'eau a avant tout pour fonction d'assurer la stabilité de l'état
colloïdale des liquides organiques et c'est là que sa qualité fera la
différence. "Une eau de grande qualité exempte d'information étrangères,
avec clusters de petite taille, grande surface interne, gouttes de petites
tailles, force de capillarité puissante, représente le meilleur moyen pour
maintenir un état colloïdal stable dans les liquides de notre organisme.
Pour cette raison, une bonne eau est la condition sine qua non de la
réussite de nombreux processus de guérison." précisent les auteurs Zerluth
et Gienger. Nul besoin de compléments alimentaires pour cela!
Vers l'eau parfaite chez soi
Nous voyons donc qu'il convient d'agir à la fois sur la pureté de l'eau et
sur sa dynamisation: l'eau doit être aussi propre et vivante que possible!
VERS L'EAU "PARFAITE"
Pollution
Minéraux
Etat
Santé
Ecologie
Coût
Note
Eaux thermales à la source
+++
+
vivant
+
+++
+++
+16
Eaux de source à la source : la référence !
+++
+++
vivant
+++
+++
+++
+20
Eau Filtre osmose + dynamisation*
+++
++
vivant
++
++
+
+15
Eau filtrée + dynamisée (Biofiltre Aquaphor et Biodynamizer)
++
++
vivant
+++
+++
+++
+18
Côté pureté, les systèmes d'osmose inverse sont théoriquement les plus
performants puisqu'ils filtrent l'eau à 0,0001 microns. Tellement
performants qu'ils arrivent même à nous débarrasser des minéraux, au point
que certains considèrent que l'eau devient trop vide et demande une
reminéralisation. D'autres auteurs (dont myself) notent toutefois que l'eau
osmosée conserve suffisamment de minéraux pour pouvoir être redynamisée,
étape en effet indispensable après le mauvais traitement de l'osmose. C'est
ce que proposent les Fontaines Mélusine, Iona ou encore Eauriginelle.
Un autre procédé - de loin le plus techniquement abouti - est celui proposé
par le Biodynamizer, au bénéfice de tous les robinets de la maison ou de
l'appartement: multiples vortex, magnétisme et information naturelle. L'eau
redevient alors quasi équivalente à de l'eau de source ! En tests boutique
(avec le Revitaliseur GIE), ce type d'eau a été préférée 8 fois sur 10 à
l'eau plus "artificielle" de l'osmose inverse.
Nous ne sommes pas encore à 20/20 mais nous nous en rapprochons. Soyons
modestes en effet et n'oublions pas que la perfection reste l'apanage de la
nature!
Sources (de données):
Wikipedia
Joseph Országh, L'eau biocompatible ou bonne à boire,
http://eautarcie.org/03d.html
Jacques Collin, L'Eau, le miracle oublié, Guy Trédaniel, 2011, p.85
Jacques Collin, L'insoutenable vérité de l'eau, Guy Tredaniel Editeur.
Richard Haas, L'eau selon la bioélectronique, Biocontact, Mars 2010, p.82
Patrice Stegmann, Quelle eau consommer?, Biocontact, Juin 2044, p.76
Roger Castell, La Bioélectronique Vincent, Editions Dangles, 2012
Josef Zerluth et Michael Gienger, L'eau et ses secrets, Editions Désiris,
2006, p.151, p.169
Richard Haas, Comment purifier et revitaliser votre eau de table, Editions
Chariot d'Or, 2014
Benoît Saint Girons, La qualité de l'eau, Editions Medicis, 2020
www.lemieuxetre.ch / www.solutionsbio.ch / www.8fondamentaux.com
Consulting Ecologique / Benoît Saint Girons / Tél: +41 76 532 8838 /
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