L'Aromathèque: la puissance des huiles
essentielles en bains ou massages!
Découvrez l'aromathérapie et la puissance des huiles
essentielles (HE) avec l'Aromathèque du Centre Oasis à Genève. La voie
cutanée est sans contexte l'approche la plus agréable de l'aromathérapie et
une excellente méthode pour combattre le stress et gagner en patience et
sérénité: en
bain ou massage, les huiles essentielles passent sous la peau et apportent
leurs bienfaits à tout l'organisme! L'Aromathèque propose
le plus grand choix de bains, huiles végétales et huiles de massage aux
huiles essentielles...
Bains & Massages aux Huiles
Essentielles
Prendre le temps de se faire du bien et s'offrir un vrai moment de
détente...
Aller à l'essentiel et donc aux huiles essentielles...
Le stress n'est pas une fatalité...
Le stress serait la maladie du siècle. Plus exactement, le stress
est la plus grande cause actuelle de maladies: de 60 à 80% des
visites chez le généraliste y seraient liées. Cela signifie qu'une
bonne partie des problèmes de santé viennent du cerveau: le trouble
psychologique (lié à une situation externe ou à des pensées
négatives) entraîne un trouble physiologique.
Selon une conception de plus en plus répandue chez les thérapeutes,
ce trouble physiologique est un message de notre cerveau destiné à
nous mettre en garde contre un mode de vie et de pensées inadaptés :
« Si vous ne supportez pas votre patron et que vous n’ayez pas de
solution pratique à portée de main telle que fuir, combattre ou vous
détacher émotionnellement, votre cerveau vous aidera à détruire
cette situation en envoyant de l’acide dans le duodénum, au risque
de provoquer des ulcères » précise par exemple Guy Corneau dans La
Guérison du cœur (Ed. Robert Laffont)
Les conséquences du stress peuvent ainsi prendre des formes variées
: maux de tête, d’estomac, mal de dos, ulcères, dépressions,… S’il
convient de soulager les symptômes, le gros du travail devra
idéalement se faire en aval, au niveau du cerveau et des causes du
stress : changer de patron, changer la conception que l’on se fait
de son patron ou se changer les idées… Comme le dit Liliane Reuter,
spécialiste de la médecine corps-esprit, « pour guérir son corps, il
faut guérir sa vie ».
De ce point de vue, prendre un bain ou recevoir un massage relaxant
aux huiles essentielles sera une approche aussi raisonnable
qu'efficace.
Articles & Solutions sur le Stress et le Mieux-Être Mental!
www.psychowell.ch
Nous avons le choix!
A trop nous focaliser sur le bonheur, nous courons donc le risque
d’être régulièrement insatisfaits. Car nous avons tendance à désirer
ce que nous n’avons pas et il ne nous sera jamais possible de
posséder une fois pour toute le bonheur.
Et si nous abandonnions un peu la stratosphère de la félicité pour
revenir enfin sur Terre ? Et si nous limitions notre ambition à
quelque chose de plus maîtrisable ? Et si nous laissions le bonheur
tranquille pour nous concentrer sur ce que nous pouvons mieux
contrôler : notre vision du paysage !
En fait, nous ne percevons que 1% environ des quelques 20 mégabits
d'informations qui bombardent notre cerveau chaque seconde. Nos sens
participent donc nécessairement à une "personnalisation" de
l’événement. L’événement ne "vaut" que par rapport à ma propre
perception. Je suis responsable de ma vision du monde.
Bref, j’ai le choix et c’est une excellente nouvelle! Je peux me
morfondre de chaque contrariété ou devenir adepte du lâcher prise.
Je peux être bringuebalé au gré du vent ou prendre la posture du
roseau, qui plie mais ne se brise pas. Je peux réagir mécaniquement
à chaque stimuli ou prendre le parti de l’action consciente. Ce
faisant, je ne serais pas moins heureux lorsque subviendront des
circonstances favorables – au contraire ! – mais je serais nettement
moins affecté par les événements douloureux qui parsèment
l’existence.
Comment atteindre la sérénité ? Et bien d'abord en essayant d'être
le mieux possible, là où nous sommes, dans l’instant présent. «
Carpe Diem : cueille le jour présent » clamait Horace. « Le paradis
terrestre est où je suis » disait Voltaire.
Facile à dire, n’est-ce pas ? Mais aussi facile à atteindre grâce
aux bains ou aux massages! Comment en effet ne pas être davantage
sensible et réceptif à la générosité de l’instant présent en
présence d'huiles essentielles ?
La sérénité est une force intérieure qui illumine. Elle permet à la
fois un meilleur contrôle de notre esprit et une plus belle
attention à la vie. « Commençons donc par nous appartenir à
nous-mêmes » conseillait Sénèque.
Prendre régulièrement du temps pour soi afin de se recentrer et se
ressourcer n'est pas une perte de temps mais une règle de base
d'hygiène mentale et corporelle.
Réhabiliter le temps et la patience
Notre société cultive le culte de la performance. La vitesse est
grisante et il n’y a pas nécessairement de contradiction entre le
bien-être et l’hyperactivité. Les problèmes susceptibles de se poser
sont de trois ordres. Premièrement, cette activité effrénée peut
entraîner un claquage : à en faire trop tout le temps, nous risquons
l’accident. Deuxièmement, nous prenons le risque de développer une
fausse croyance : que la lenteur ou l’inactivité sont des choses
nécessairement négatives. A rouler toujours à 130, nous nous
énervons lorsque nous devons rétrograder et sortir de l’autoroute.
C’est dommage car c’est sur les petites routes et à une allure
raisonnable que l’on apprécie le plus le paysage…
Troisièmement, le besoin de la vitesse est souvent contradictoire
avec la patience, une vertu pourtant privilégiée par les sages et
même considérée comme la mère de toutes : « La patience est la clé
du paradis » dit un proverbe turc. « La patience est un pansement
pour toutes les plaies » rappelle Cervantes. La patience fait aussi
partie des six perfections bouddhistes : sans elle, peu de
techniques pourraient en effet être comprises et expérimentées…
La patience fait partie de ces mots aux multiples résonances.
D’après le dictionnaire, il s’agit tout d’abord d’une « vertu qui
fait supporter avec résignation les injures, les critiques, etc. »
D’où la conception bouddhiste que nos ennemis sont précieux car ils
nous permettent de pratiquer la patience. C’est aussi la « qualité
de celui qui persévère sans se lasser », gage de résultats.
« Prendre patience », c’est « attendre avec calme » tandis que
« prendre son mal en patience », c’est « souffrir sans se
plaindre », ce que devraient apprendre à faire tous les patients.
Nous désignons en effet sous le nom de patient les personnes qui
restent stoïques devant l’insulte, les challenges ou les soins
médicaux. Patient vient du latin patientia qui signifie action de
supporter, d’endurer. Il renvoie aussi à pati qui signifie souffrir
ou supporter.
Il n’est donc pas étonnant que notre impatience contemporaine
s’accompagne d’une peur absolue pour la souffrance et, en
définitive, pour la mort. Manquer de patience, c’est en définitive
manquer de temps et de courage : ne pas accepter les aléas de
l’existence.
Être patient revient à accorder le temps à tout ce qui advient et à
considérer que tout est comme il doit être. C’est comprendre que je
ne peux pas tout contrôler. C’est accepter les mauvaises expériences
– les délais, les problèmes, les insultes ou la maladie – comme
inévitables et réaliser que je ne peux pas toujours obtenir tout ce
que je veux. C’est lâcher prise en face de l’adversité et ne pas
rajouter de l’huile sur le feu.
Le lâcher prise est cousin de la patience : en face d’une situation
désagréable, j’envoie à mon esprit le message suivant : « Patience !
Laisse tomber ! Il n’y a rien que tu puisses faire ! Cela finira par
aller mieux… » Il ne s’agit pas de lâcheté mais d’humilité, de
réalisme et de pragmatisme : si je ne peux rien faire, à quoi cela
sert-il de faire quelque chose ?
Aller vite, c’est très bien. Aller lentement, c’est très bien
aussi ! Ce n’est pas la vitesse qui compte mais notre appréciation
du moment. Le temps ne se perd ou ne se gagne, il ne s’accepte ou se
refuse : il se vit !
Dans quelles circonstances arrivez-vous le plus facilement à
dormir : quand vous vous ordonnez de dormir ou lorsque le vide se
fait dans votre esprit ? Quand arrivez-vous le plus facilement à
vous rappeler un nom qui vous échappe : quand vous cherchez ou
lorsque vous pensez à autre chose ? A quel moment êtes-vous le plus
créatif ? Quand vous vous abreuvez de dossiers ou dans votre
sommeil ? « Les artistes, les scientifiques, les inventeurs et les
mathématiciens font souvent leurs découvertes les plus innovatrices
dans les moments où ils ne se concentrent pas directement sur le
problème en question mais se détendent et lui donnent l’espace
d’être » rappelle John Welwood dans sa « Psychologie de l’éveil ».
La mobilisation active de ses neurones n’est pas toujours le
meilleur moyen d’accéder à son esprit. Ralentir son rythme et
prendre du repos sont parfois les meilleures stratégies pour
analyser correctement un problème et arriver à des solutions
satisfaisantes. Il est erroné de croire qu’il ne se passe rien
lorsque nous ne faisons rien : il se passe beaucoup de choses au
contraire, au niveau du corps, de l’esprit, des idées et de la
qualité de vie !
Extraits des livres L'obsession de la performance (Editions
Jouvence, à paraître) et
Le choix de la plénitude de Benoît Saint Girons, disponible sur
www.lemendiant.fr)
L'Aromathèque
Centre Oasis, 9 rue du Vélodrome 1205 Genève, Suisse
Tél: + 41 (0)22 320 8886 aroma[at]oasis-centre.com
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Nouvelle
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L'Aromathèque à Genève: le plus grand choix autour des
Huiles Essentielles!