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"La malbouffe" (3'24)

 

La cuisson douce

Quel intérêt d'acheter bio si c'est pour ensuite détruire les nutriments par une cuisson
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Les grands thés chinois en qualité Bio

Il existe plus de thés en Chine que de vins dans le monde. Découvrez l'art et le plaisir des grands crus de thés chinois en qualité biologique ainsi que leurs vertus spécifiques sur la santé. Thés blanc, jaune, vert, bleu-vert, rouge ou noir! Rupture de stock.

 

Les règles de base

N'en déplaise à certains "experts" nutritionnistes qui aimeraient bien nous vendre leurs
recettes et livres de régimes, s'alimenter correctement n'est ni difficile ni coûteux...
pour autant que l'on s'oriente vers le bon sens du naturel!

 

Les écueils à éviter

Non, tous les aliments ne sont pas sains et tous les additifs chimiques sont problématiques. Arriver à dépasser les manipulations du marketing est la première étape sur le chemin de la liberté nutritionnelle...

 

 

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« Dis moi ce que tu consommes, je te dirais qui tu es »
Je te dirais aussi comment tu te sens…

Dans une stratégie globale de bien-être, la santé devrait globalement primer sur les trop brefs plaisirs des sens : un bon aliment est moins un aliment qui sent bon qu’un aliment qui apporte à l’organisme ce dont il a besoin en nutriments et autres vitamines ! Or la forme (de l’emballage aux arômes) l’emporte encore trop fréquemment sur le fond. Les deux challenges à relever sont donc les suivants :

► S’alimenter plus naturellement
► Utiliser des aliments plus naturels

Il n’est pas question de discuter de vos goûts personnels et les quelques règles qui suivent relèvent davantage de suggestions que d’obligations. Idéalement, il conviendrait d’essayer de les respecter mais il ne faudrait surtout pas culpabiliser : un bon dîner au restaurant de temps en temps et des menus plaisirs réguliers permettront de faciliter l’hygiène alimentaire du quotidien…

Alimenter correctement nos cerveaux

Notre estomac est un organe central. Chez les asiatiques et nombre de thérapeutes, le ventre est le siège des émotions, d’où par exemple les expressions « la peur au ventre » ou « l’estomac noué ». Pour d’autres, il s’agit du deuxième cerveau : les 300 mètres carrés de l’intestin contiennent de 60 à 80% de toutes nos cellules immunitaires et 100 millions de neurones, soit autant que la moelle épinière (le dos, troisième cerveau). « Le ventre est le siège de la peur et du stress et c’est pourquoi tout bon thérapeute doit vérifier l’état du ventre de son patient. Une bonne respiration et alimentation permettent de prévenir la plupart des maladies » rappelle mon épouse Fencienne à ses élèves en massages chinois.

D’une manière générale, nous mangeons trop : les calories ingérées excèdent largement nos besoins physiologiques. Réduire sa consommation permettra de préserver son organisme d’un surcroît de travail et donc, logiquement, de vivre plus longtemps. « Vous adorez manger ? Moi aussi. Vous voulez savoir comment manger beaucoup ? Alors écoutez-moi : mangez peu. Ainsi vous vivrez assez longtemps pour manger beaucoup » conseille avec humour Anthony Robbins dans son livre Pouvoir illimité (1)

Les dernières études semblent lui donner raison. Avec proportionnellement trois fois plus de centenaires qu’en France ou aux Etats-Unis, c’est dans l’île d’Okinawa, au sud du Japon, que l’on vit le plus vieux. Or l’apport calorique moyen n’est là bas que de 1800 kilocalories (kcal) par jour, contre 2300 en France et 2500 aux Etats-Unis. Ils avalent pourtant plus de nourritures que nous ! Cette apparente contradiction tient à la densité calorique des aliments et au fait que le sentiment de satiété repose moins sur la teneur en calories que sur la quantité d’aliment servis: les légumes frits, riz complet et autres soupes miso qui composent le repas traditionnel d’Okinawa sont plus consistants et riches en fibres que nos hamburgers et autres pizzas tout en étant moins calorifiques (2)

Ne pas tomber dans le foodamentalisme

Les règles de nutrition changent sans arrêt ! Chaque jour donne naissance à une nouvelle méthode, basée sur des révélations scientifiques plus ou moins bien extrapolées. Chaque semaine, des règles anciennes sont remises en cause. Et chaque mois, les magazines féminins proposent le dernier régime miracle. Difficile de s’y retrouver alors que même les nutritionnistes (dont les diplômes ne sont en France ni standardisés ni reconnus) ne s’accordent pas sur les détails…

Rappelons que chacun possède son propre métabolisme et que ce qui est vrai pour l’un ne le sera pas forcément pour l’autre. De plus, les combinaisons entre les différents aliments et les interactions avec notre organisme sont loin d’avoir fait l’objet d’études exhaustives : nous ne sommes pas encore au bout de nos surprises…

« Que ta nourriture soit ton médicament et ton médicament ta nourriture » recommandait Hippocrate. Certes, mais le plaisir de la table a également son importance et avaler des pilules n’a vraiment rien de réjouissant. De même qu’avec la santé, il ne faudrait donc pas tomber dans le « foodamentalisme » et stresser en face de son assiette. Les aliments sont la vie mais ne devraient jamais dicter nos vies !

Nous ne vous suggèrerons donc pas de devenir végétaliens : cela supposerait de bonnes connaissances en nutrition de manière à ne pas créer de carences en protéines, minéraux et vitamines. De même, la grande majorité des aliments que nous consommons, à défaut d’être bons pour la santé, ne sont heureusement pas nocifs en soi. Tout est question de dosage : « Tout est poison, rien n’est poison » disait Paracelse. Le café et le coca-cola étaient des médicaments à la base ! C’est notre surconsommation qui les rend dangereux.

Ceci étant rappelé, certains additifs alimentaires et certaines pratiques productivistes sont clairement déconseillés. S’il est difficile de tous les supprimer (à moins de changer de crèmerie ou de planète), il sera fondamental, dans une optique de liberté de choix, d’être au moins capable de les localiser… Voir la "boussole alimentaire" de la section Malbouffe.

Sources:
(1) Anthony Robbins, Pouvoir Illimité, Editions Robert Laffont, p. 181-182
(2) Thierry Souccar, Manger moins pour vivre vieux, Sciences et Avenir, Septembre 2004

 

La malbouffe industrielle

Non, tous les aliments ne sont pas sains et tous les additifs chimiques sont problématiques. Arriver à dépasser les manipulations du marketing est
la première étape sur le chemin de la liberté nutritionnelle...

Les suggestions - pièges du marketing

Nous avons tous remarqué qu'il y avait une différence notable entre la présentation officielle du produit et ce que l'on retrouvait dans son assiette…

Les industriels ont l’obligation de faire figurer sous leurs photos la mention « suggestion de présentation » mais certains en usent et en abusent… De la présentation proprement dite c’est-à-dire de tout ce qui illumine et décore l’assiette, nous sommes en effet insidieusement passés à la préparation elle-même, qui ne devrait pourtant pas porter à confusion sous peine de « publicité mensongère ».

Un petit schéma valant un long discours, le site allemand Pundo a eu la bonne idée de photographier le packaging, la photo « officielle » et le résultat « réel » dans l’assiette. La différence saute aux yeux. Présentée avec plein de petits légumes sur le packaging, le riz se retrouve ainsi privé de tout… sauf d’un petit pois. Pas de doute : les industriels nous prennent vraiment pour des légumes !

Dans le film "Chute libre", Michael Douglas oblige un manager de fast-food – sous la menace d'un flingue – à reconnaître les différences entre le hamburger servi et les photos au-dessus des caisses… mais les non-violents feraient mieux de traiter le problème à la source et d’éviter le plus possible la basse-cour industrielle. Pour ne pas tomber dans le panneau publicitaire, le mieux est encore de ne pas trop s’approcher !

Mais il n’y a pas que le travail sous Photoshop qui permet de rouler le consommateur dans la farine raffinée et l’on retrouve la « suggestion de présentation » sous divers autres travers :


La suggestion de la nouveauté

« De nombreux clients se font piéger et n’hésitent pas à payer deux fois plus cher un simple produit de base uniquement en raison de son emballage. Au pays de la grande distribution, l’habit ferait-il le moine ? » s’interroge Florence Humbert du magazine Que Choisir. (Février 2005, p. 48)

Les nouveautés n’ont souvent de nouveauté que le nom. « L’innovation marketing mineure» est en effet la meilleure technique pour augmenter les prix sans trop mécontenter les consommateurs: un nouveau packaging, une campagne de pub bien ficelée et la disparition des anciens produits laisseront peu de choix aux fidèles clients et en attireront peut-être de nouveaux.

La suggestion des vertus santé du produit

« L’effet le plus avéré de ces produits est un allègement… du porte-monnaie des consommateurs. Selon les spécialistes du secteur, un alicament est en effet vendu en moyenne 50 à 100% plus cher que le produit standard équivalent. Parfois, c’est carrément le triple du prix normal, sans que cette inflation soit justifiée par le coût des ingrédients utilisés. La facture est d’autant plus salée qu’il faut, dans la plupart des cas, consommer ces produits régulièrement pour ressentir l’effet promis. Prenez Essensis, le yaourt lancé il y a un an par Danone. […] Pour que ce soit efficace, le géant des produits laitiers préconise de manger deux de ses petits pots roses par jour. Soit une facture d’environ 35 euros par mois. » (Cédric Pietralunga, Capital, Avril 2008, p.67)

Alicaments à part, les consomm’acteurs les plus avertis connaissent les saloperies chimiques dont sont richement dotées la plupart des préparations industrielles : exhausteurs de goûts, aromes, conservateurs, édulcorants, graisse hydrogénée, sucre raffiné,… (voir les différentes rubriques de cette section!) Lorsque que « l’être » est aussi nauséabond, on comprend qu’il soit opportun de mettre l’accent sur le « paraître » !

Enfin, last but not least, la suggestion d’expertise!

Quand une nutritionniste recommande l’aspartame au motif que le produit est « très festifs, mais acalorique », ou conseille la crème fraîche sur l’huile d’olive, on peut légitimement s’interroger sur sa formation. Lorsque l’on apprend qu’elle est responsable d’une société de nutrimarketing et nutritionniste conseil d’un groupe industriel, on peut s’interroger sur son indépendance voire son éthique… Voilà une vérite qui… démange !

Lorsque Léon Guéguen, Directeur de Recherches honoraire de l’Inra, ancien directeur du Laboratoire de nutrition et sécurité alimentaire du Centre de recherches de Jouy-en-Josas, membre de l’Académie d’agriculture de France et rapporteur à l’Afssa (ouf !), écrit un article pour dire que l’agriculture biologique n’est pas durable et que les aliments bio ne sont pas meilleurs pour la santé (voire sont plus dangereux !), on peut s’interroger sur son dogmatisme.

Les experts ont toujours été utilisés pour semer le doute chez les consommateurs. Comme le notait Al Gore dans son film "Une Vérité qui dérange", « Sur 928 publications dans des revues scientifiques, le désaccord [sur le réchauffement] était de 0%. Une autre étude sur les médias populaires a retenu un échantillon de 636 articles. Plus de la moitié (53%) disaient "C'est peut-être un problème mais peut-être pas."Pas étonnant que la confusion règne dans les esprits. » Et de citer Upton Sinclair : « Difficile pour un homme de comprendre une chose si son salaire dépend de ce qu'il ne la comprenne pas. »

D’où peut-être le fait que nombre de nutritionnistes et diététiciens Français ne veulent surtout pas s’intéresser à l’agriculture biologique : on n’aurait plus besoin d’eux !
D'ailleurs, en France, le métier de nutritionniste n'est même pas reconnu! Pourquoi en effet s'embarrasser de sérieux alors que l'industrie est enchantée de l'approximation générale ? Tant que chacun pourra s'autoproclamer "expert" pour dire ce qu'il veut et reprendre en chœur le fameux « Aucun produit n'est nocif en soi et il ne faut rien interdire », la malbouffe continuera à bien se vendre, merci pour elle!
Confronté à un expert, la première chose à faire serait donc de nous interroger sur son pedigree, ses motivations et ses éventuels conflits d’intérêt. Tous les professionnels ne sont évidemment pas malhonnête mais l’argent est la première source de corruption et il en coule davantage chez l’industriel que chez le petit artisan ou le magasin bio...


La boussole alimentaire

Dans la jungle de l’alimentation industrielle, une boussole n’est donc pas de trop pour arriver à se repérer entre les rayons et se prémunir des dangers de la chimie sauvage. L’obligation d’étiquetage imposée aux produits, noyée dans un océan de marketing et d’allégations santé, est en effet loin d’être efficace. Qui est aujourd’hui capable de déchiffrer correctement l’étiquette d’un simple gâteau industriel ?

Nous n’aimons pas passer pour des imbéciles – et nous avons peu de temps – alors nous préférons souvent zapper : « C’est une grande marque, il n’y a pas de risque », « C’est tellement bon que ça ne peut être mauvais » ou encore « Si ce n’était pas sain, ce ne serait pas autorisé »…

L’idée de cette section n’est ni de donner des sueurs froides, ni de dresser la liste exhaustive des aliments ou additifs dangereux mais de mettre plutôt l’accent sur certaines pratiques de l’industrie et suggérer quelques pistes d’aliment’action. Avec une boussole, il est plus facile de retrouver le chemin du naturel !

Les grands crus de thés chinois, les thés et la santé

Qui ne connaît pas le thé, la boisson la plus bue au monde après l’eau ? Mais d’un autre côté, qui peut se targuer de vraiment connaître le thé, son histoire, sa philosophie, ses ustensiles, ses traditions, ses vertus, ses poètes et ses milliers de variétés (il existe par exemple davantage de crus en Chine que de vins dans le monde) ? Car avant d’être une boisson, le thé est une culture, dans les deux sens du terme !
La plupart des occidentaux consomment encore du thé noir indien (appelé « thé rouge » en Chine) en sachet. C’est pratique, rapide et les arômes naturels ou artificiels plus le rajout de sucre, de lait et/ou de citron masquent facilement un thé de piètre qualité. Depuis quelques années, on note toutefois un engouement pour les thés verts, réputés excellents pour la santé et très représentatifs de la mode asiatique. Surfant sur cette vague, de nombreuses enseignes se sont ouvertes, de nombreux parfums ont été crées, un marketing savant a été mis en place de manière à faire croire au consommateur qu’il dégustait bien plus que du thé: une culture, un bienfait, une philosophie, un bien-être ! 
Nous ne récusons ni les bienfaits du thé (mais alors de tous les thés, voir plus bas la partie le thé et la santé), ni le bien être qui y est naturellement associé mais il convient d'essayer de s'éloigner du folklore qui entoure trop souvent le produit pour en masquer la vraie qualité. Un bon thé n’est pas nécessairement un thé cher mais un thé qui est correctement préparé et qui est dégusté avec le bon état d’esprit. 

La classification des thés chinois

Tous les théiers du monde appartiennent à une unique espèce: le thea (camellia) sinensis de l'ordre des guttifères, de la famille des Ternstroemiacées. Ouf! Cette espèce comprend toutefois diverses variétés dont seulement deux sont utilisées pour la culture: les plants dits de Chine (qui furent volés par les anglais et introduits en Inde dans la région de Darjeeling) et les plants d'Assam, une espèce spécifique à la province d'Assam en Inde, découverte seulement au 19ème siècle. Nous nous intéresserons ici à la première catégorie.
La qualité d'un thé dépend évidemment de nombreux facteurs: l'âge du théier, le sol, l'altitude, le climat, les soins apportés, le mode de récolte, la date de la récolte... Un même thé variera donc d'année en année. Il donnera également diverses qualités de thés. Tout d'abord en fonction de la cueillette: celle ci va de la cueillette dite impériale (seul le bourgeons ou la toute première feuille et le bourgeon sont cueillis) à la cueillette grossière (les troisièmes, quatrièmes ou cinquièmes feuilles) voire la cueillette mécanique (généralement néfaste au thé), en passant par la cueillette fine (le bourgeon plus les deux premières feuilles).
Vient ensuite l'étape la plus déterminante pour la classification du thé: le traitement subi après la cueillette. En fonction de celui-ci, un même théier sera susceptible de donner les familles suivantes:

► Le thé blanc: rare, ce thé n'a subi aucune opération après la cueillette. Il est cueilli et séché tout de suite. C'est donc un thé non fermenté, très subtil, qui donnera une infusion de couleur cristalline. Il est réputé pour faire baisser la fièvre et diminuer le feu dû aux éruptions cutanées. C'est un thé très rafraîchissant, idéal pour les chauds mois d'été.

► Le thé jaune: rare également, il a subi une fermentation spécifique légère, à l'étouffée. Les feuilles et l'infusion sont de couleur jaune. 

► Le thé vert: désormais très connu en occident, c'est le thé le plus bu en Asie, en Chine mais également au Japon, où il est considéré comme un produit frais, riche en vitamines C (mais où la technique de fabrication, beaucoup plus industrielle, diffère). Les meilleures cueillettes se font au printemps. En Chine, les feuilles sont ensuite séchées à sec puis portées à une température de 100°C pendant un court instant afin de détruire certains enzymes néfastes au goût et rendre impossible une fermentation ultérieure. Les feuilles sont ensuite refroidies et séchées.

► Le thé bleu-vert: Appelés wu long ou oolong ("dragon noir") à Taiwan, ces thés sont parmi les plus recherchés chez les amateurs. Ce sont en effet les seuls, du fait de leur complexité, à exiger une préparation en gong fu cha (voir plus loin). Seule cette préparation permettra de faire ressortir le parfum et les goûts subtils de ces thés, et de constater leur évolution au fil des infusions. Leur nom vient de la couleur des feuilles, généralement entières. Ils sont semi-fermentés et la fermentation varie entre 12 et 65%. Il y a trois récoltes par année en Chine et jusqu'à sept à Taiwan. Il en existe plusieurs milliers de variétés!

► Le thé rouge: Appelé "thé noir" en occident en référence à la couleur de la feuille et "thé rouge" en Chine en référence à la couleur d'infusion, c'est un thé fermenté à 100% et, de fait, beaucoup travaillé. Ce type de thé est surtout consommé en Occident et la production chinoise essentiellement exportée.

► Le thé noir: C'est une spécificité chinoise. Il s'agit d'un thé post-fermenté: il a subi une fermentation étalée dans le temps. Le Pu Er est le plus représentatif de cette catégorie. Pour ce type de thé, on parle davantage d'impressions et de sensations que de goûts ou de parfums. En effet, ce thé est réputé posséder de nombreuses vertus, parmi lesquelles celui de brûler les graisses.

► Le thé fumé: Longtemps, pour les occidentaux, ce thé a représenté le thé chinois par excellence. Erreur! Fabriqué par accident au 19ème siècle (le propriétaire d'une usine de thé réquisitionnée par l'armée tenta de stopper la fermentation de sa production en faisant brûler du bois de pin sous les feuilles), ce thé ne trouva preneur qu'auprès des occidentaux, qui devinrent de grands consommateurs de ce type de thé. Le thé fumé est donc le "thé des étrangers". Dans cette catégorie de thés, le lapsang souchong est le plus connu... mais sa qualité varie énormément.

► Le thé aux fleurs: Ce n'est pas une famille de thés proprement dite puisque tous les types de thés peuvent en théorie s'allier aux fleurs. Nous ne parlerons pas ici des mélanges faits par l'importateur avec des essences ou des huiles essentielles naturelles (comme pour la plupart des thés indiens) mais des mélanges faits par les producteurs avec des fleurs fraîchement cueillies. Traditionnellement en Chine, seules quelques fleurs sont utilisées: le jasmin, bien sûr, mais aussi le chrysanthème, le lotus, l'osmanthe ou encore la rose. Les fleurs sont rajoutées avant que le séchages des feuilles ne soit complet, lorsque le thé est encore chaud.

 

L'eau et la vie: purification et dynamisation de l'eau!

Constitué à 65% d'eau, l'organisme a un besoin vital d'eau de qualité. Eau en bouteille ou eau du robinet, sa qualité "organique" laisse le plus souvent à désirer et les différents polluants ou minéraux en excès ne sont qu'une partie du problème. De nombreux filtres promettent une eau purifiée mais bien peu sont capables de revitaliser l'eau aux normes d'un organisme vivant. Nutriwell vous présente les différentes problématiques de l'eau et les meilleures solutions du marché. 

L'eau et la vie!

Principal constituant du corps humain (70%!), l'eau est un facteur de santé et de vitalité de tout premier ordre. Sa qualité "organique" laisse toutefois souvent à désirer, tant au robinet qu'en bouteille. Découvrez comment faire retrouver à l'eau sa pureté et sa vitalité originelle!

L'eau est la seule boisson véritablement compatible avec un organisme vivant, pour optimiser les fonctions cellulaires et métaboliques, réguler la température (transpiration) et l'homéostasie de l'organisme, protéger l'estomac de l'acide chlorhydrique, lubrifier les os, transporter les éléments nutritifs et éliminer les déchets. Aqua n'est "simplex" qu'en apparence et ce n'est pas pour rien que même la vache bois de l'eau!
Il est impossible de vivre plus de quelques jours sans eau, substance la plus abondante du corps humain avec une proportion moyenne de 70% mais variant de 55 à 75% en fonction de l'âge mais aussi de la corpulence et du sexe. Les jeunes hommes maigres auront ainsi davantage d'eau en proportion que les vieilles femmes obèses. Les tissus maigres tels que les muscles renferment en effet plus d'eau que les corps gras. Un embryon de deux mois est constitué de 97% d'eau. Chez un adulte, le sang est constitué à 83% d'eau, les tissus cérébraux 85% et même les os en contiennent à hauteur de 22%! En nombre de molécules, c'est encore plus étonnant puisque l'eau représente 99% des molécules des 60 000 milliards de cellules qui composent un organisme!
C'est ainsi qu'en naturopathie, des afflictions aussi courantes que les rhumatismes, les troubles intestinaux (constipation, colites), les maux d'estomac, l'hypertension, le cholestérol, le surpoids, les allergies ou encore le stress peuvent être lié à déficit hydrique par rapport aux besoins de l'organisme. Comme le souligne le naturopathe Alain Huot, "Bien boire redonne son autonomie au processus de guérison naturelle" et de s'interroger "Il est vrai qu'apprendre à boire ne fait rien vendre! Est-ce pour cela que plus personne n'enseigne aux enfants à boire de l'eau ?" (1) En quoi, il n'a que partiellement raison, au regard des problèmes liés à la qualité de l'eau...

"Nous sommes ce que nous buvons"
Dr Henri Coanda, père de la Dynamique des Fluides

Il y a l'eau et il y a le bas et toutes ne se valent pas du point de vue de la santé et de la vitalité. Essayons d'y boire un peu plus clair:
Les eaux minérales sont officiellement des eaux qui possèdent des caractéristiques chimiques stables "de nature à apporter ses propriétés favorables à la santé". En réalité, ce sont surtout de belles opérations de marketing. En effet, astreintes à aucune norme réglementaire (elles ne sont pas visées par les normes EDCH régissant les Eaux Destinées à la Consommation Humaine), elles sont généralement beaucoup trop minéralisées pour être consommées à longueur de journée ou même obtenir l'appellation de "potable". "L'eau en bouteille n'est pas plus protégée de la pollution que l'eau du robinet. Elle est même moins contrôlée" note ainsi Jean-Luc Tanly de l'Association pour un contrat mondial de l'eau.

L'eau de table - communément appelée "eau du robinet" est une eau rendue potable par traitement et qui répond aux normes de qualités en vigueur. Elle contient parfois plus de minéraux que certaines eaux de sources mais toujours moins que les problématiques "eaux minérales" ce qui en ferait une eau de consommation courante si ne se posaient les questions du traitement et des normes en vigueur, susceptibles de ne pas être suffisamment protectrices des consommateurs (en l'état actuel des connaissances, des intérêts économiques ou de la frilosité des politiques face à ce sujet pour le moins sensible...)

De l'eau morte à l'eau vivante, telle est la promesse de la fontaine Mélusine d'Aqua Dyn Auroville. La première étape est une purification en profondeur de l'eau du robinet via filtre à charbon actif, filtre à sédiment et osmose inverse. Débarrassée de tous ses polluants, l'eau est ensuite bio-dynamisée afin de redevenir compatible avec l'eau biologique de notre corps. Elle est enfin informée avec des diodes lumineuses et de la musique classique, sélectionnée pour optimiser le taux vibratoire de cette eau de vie. Découvrez la fontaine Mélusine avec Nutriwell et le Centre Oasis à Genève!

Magnifiques objets, les carafes TC energy design sont surtout des carafes capables de revitaliser et de ré-harmoniser l'eau en profondeur.  En quelques minutes, l'eau du robinet redevient vivante et bio-assimilable par l'organisme. Formes musicales et symboles universels de vie en alliage précieux (platine ou or) se combinent et font des carafes TC energy design - fabriquées de manière artisanale - les carafes les plus puissantes au monde, que l'on pourra également associer à des gobelets mythos avec symboles et/ou affirmations.