Les menaces de l'eau: les différentes pollutions de l'eau!
La pollution de l'eau fait immédiatement penser à
l'agriculture intensive et son relarguage de nitrates et de pesticides
jusque dans les rivières, les nappes phréatique... et donc l'eau du robinet!
Les industriels se sont un peu calmés côté pollution des rivières mais pas
partout et les gadgets ou vêtements que nous faisons venir des quatre coins
du monde s'accompagnent souvent d'une empreinte hydrique désastreuse! Les
solutions ? Passer au bio et à la consommation responsable et éthique. Découvrez avec Eaunaturelle.ch
comment nous pouvons faire la différence et participer à une plus grande
pureté et limpidité de l'eau!
LES MENACES: LES POLLUTIONS DE L'EAU
« Notre époque se caractérise par la profusion des moyens
et la confusion des intentions »
(Einstein)
► La pollution agricole ► Les pollutions industrielles
► Une pollution exportée dans les pays en développement ► L'impact de la
CONsommation
Est-ce parce que nous savons l'eau trop polluée et malmenée que nous ne la
respectons plus et envisageons même parfois la consommation d'eau en
bouteille ? N'apparait-il pas pour le moins paradoxal de se tourner vers les
principaux pollueurs - l'industrie et l'agriculture productiviste - pour
notre fourniture en eau et en nourriture ? Il est urgent de faire le point
sur les différentes pollutions de l'eau de manière à prendre conscience de
la nécessité de changer certains de nos comportements consuméristes. Couper
l'eau de son robinet lorsque l'on se brosse les dents, c'est bien. Passer au
bio et/ou au local sera par contre autrement plus percutant !
Les pollutions de l'eau nous interpellent aussi sur la perception
qualitative de nos vies et la manière dont nous nous respectons. L'eau est
le vecteur principal de la vie mais, via la pollution, l'eau est de plus en
plus source de maladies et de mort, de manière lente et insidieuse en
Occident via les problématiques de l'eau du robinet ou des minéraux en excès
des eaux minérales en bouteille, de manière beaucoup plus rapide et directe
dans les pays en voie de développement, voir la section La pénurie d'eau.
Polluer l'eau, c'est se pourrir la vie à plus ou moins longue échéance...
La pollution agricole
Les agriculteurs devraient être parmi les personnes les plus respectueuses
de la nature. La haute finance (pour le financement) et l'industrie
phytosanitaire (pour les dépenses) en ont décidé autrement: polluer toujours
plus pour produire de moins en moins (à l'hectare) est plus rentable que de
respecter le sol et les humains. De fait, les agriculteurs ne travaillent
plus pour eux mais pour rembourser leur banque et payer les intrants
chimiques qui - du fait d'un sol appauvri - sont désormais indispensables à
la moindre croissance. Passé du statut d'agriculteurs à celui d'exploités
agricoles, fortement endettés par le choix de la production intensive, ils
n'ont d'autre choix que de faire... de la production intensive!
La stupidité de l'engrenage est résumée par l'histoire personnelle de
Françoise et François Dufour, relatée dans le livre Le monde n'est pas une
marchandise: "François charruait, azotait, traitait, du matin au soir [...]
« On chargeait le sol en azote, pour démarrer le maïs, on le rechargeait,
toujours en azote, pour avoir un rendement d'herbe au printemps, sans jamais
se poser la question de ce qui se passait dans les nappes phréatiques.
C'était la technique officielle et vulgarisée; sans elle, nous
n'intéressions ni le groupement de développement, ni la coopérative, ni les
organismes officiels. Je ne raisonnais plus en fonction des besoins des sols
et de mes animaux, je vivais dans la hantise de l'erreur technique qui
ruine.» Le couple est aspiré dans cette spirale de la rentabilité, qui
pousse à satisfaire la banque avant de s'interroger sur la nature même du
travail. Peu importe de produire n'importe quoi, pourvu que la machine
tourne."
Premiers consommateurs d'eau (70%), les agriculteurs sont donc également ses
premiers pollueurs via l'utilisation irraisonnée des pesticides et autres
nitrates. Selon une enquête publiée par l’IFEN (Institut français de
l’environnement) en 2003, seuls 5 % des prélèvements effectués dans les
cours d’eau étaient de très bonne qualité. 148 pesticides différents ont été
trouvés dans les eaux de surface (sur 320 recherchés) et 62 dans les eaux
souterraines (sur 292 recherchés). En France, les pesticides sont présents
sur 91 % des mesures en rivière et 55 % des mesures souterraines.
En Europe, plus de 90 % des cours d’eau révèlent de fortes concentrations de
nitrates et plus de la moitié des lacs européens sont victimes
d'eutrophisation (manque d'oxygène et de lumière du fait de la prolifération
des algues). Rappelons que la présence de nitrate est due essentiellement à
l’épandage de doses massives d’engrais azotés et de lisier (effluents
d’élevage). Rappelons aussi, avec le CNRS, que si la teneur en nitrates des
eaux souterraines varie de 0,1 à 1 milligramme par litre d’eau en l'absence
de contamination, elle dépasse souvent aujourd’hui 50 milligrammes par
litre, norme retenue pour les eaux potables par l’Organisation mondiale de
la santé. De telles eaux nécessitent donc un traitement spécifique pour
pouvoir être consommées et il est aberrant de constater dans certaines eaux
minérales des teneurs supérieures à 1000 mg/ litre!
Au final, selon une enquête de UFC Que Choisir de 2014, près de 1,5 millions
de Français boivent une eau trop polluée et, chaque année, plus de 400
captages d'eau sont fermées pour cause de pollutions agricoles.
Les solutions ? Une taxation des agriculteurs selon le principe du "pollueur
payeur" (qui ne contribuent pour le moment qu'à hauteur de 1% aux coûts de
la pollution contre 82% pour les particuliers et 14% pour les industriels)
étranglerait encore un peu plus les agriculteurs qui ne sont, au final, que
les victimes des industriels et du "système", les premiers malades de leurs
pesticides. Des aides de l'état pour une reconversion douce vers
l'agriculture biologique serait autrement plus conséquent en terme de
réduction des pollutions. "En agronomie classique, un blé labouré demande 3
kg d'azote par quintal et 120 lires de fuel par hectare, en agrologie un
kilo d'azote suffit pour produire un quintal de blé et l'arrêt du labour
permet de ne consommer que 30 litres de fuel par hectare" rappellent les
agronomes Claude et Lydia Bourguignon. L'utilisation d'une eau vivante
redynamisée permet également de limiter les intrants tout en favorisant la
croissance des végétaux.
La ville de Munich incite ainsi depuis 1991 les agriculteurs situés dans la
zone d’influence des points de captage d’eau à se convertir à l’agriculture
biologique. Non seulement les Munichois font des économies sur le traitement
de l'eau - il n'y en a pas! - mais ils disposent au robinet d'une qualité
d'eau équivalente à celle d'une eau minérale.
Source: www.empreinteh2o.com
Les pollutions industrielles
Traiter avec respect l'eau en amont plutôt qu'avec irrespect en aval ? Les
industriels ne voient pas d'un très bon œil ce genre de bon sens, eux qui
ont surtout le sens des affaires! La gestion de l'eau et de ses systèmes
d'épuration est une rente de situation d'autant plus confortable que les
pressions sur l'eau se multiplient. Mais n'y a-t-il pas conflit d'intérêt à
confier à un industriel la potabilité d'une ressource polluée par
l'industrie ?
Le site Belge Aquawal rappelle que "selon l'activité industrielle, on va
retrouver dans l'eau des pollutions aussi diverses que :
- des matières organiques et des graisses (abattoirs, industries
agro-alimentaires...)
- des hydrocarbures (industries pétrolières, transports)
- des métaux (traitements de surface, métallurgie)
- des acides, bases, produits chimiques divers (industries chimiques,
tanneries...)
- des eaux chaudes (circuits de refroidissement des centrales thermiques)
- des matières radioactives (centrales nucléaires, traitement des déchets
radioactifs)"
Potentiellement, il est possible de trouver plus de 143 000 molécules
chimiques dans l'eau, chiffre correspondant au nombre de molécules de
synthèses fabriquées par les industriel. Rappelons que sur ces 143 000
substances commercialisées en Europe, 3% seulement ont été soumises à des
tests toxicologiques complets…1000 produits chimiques nouveaux sortent en
outre tous les ans… Voir le site de Greenpeace www.vigitox.org et le conte
écologique De l'air!
En Europe, seules 36 substances chimiques classées comme prioritaires sont
pour le moment surveillées dans les eaux et 54 en France. Une règlementation
est en cours pour en rajouter quelques dizaines d'autres mais les délais
sont longs et les dérogations toujours possibles... Nous restons de toute
manière loin du compte puisque environ 20 000 substances chimiques sont
déversées dans nos ruisseaux et nos rivières, qu'un millier de substances
différentes ont été repérées et que 200 substances chimiques ont été mises
en évidence. "Du temps où le Dr Philippe Douste-Blazy était ministre de la
Santé, il avait admis que des traces de résidus d'environ 600 différentes
molécules chimiques et médicamenteuses non recherchées dans les analyses
officielles pouvaient se trouver dans nos eaux potables, et que ce chiffre
était réaliste. La France ne recherche officiellement que 54 critère
différents. Mais, à part cela, notre eau de ville est parfaitement claire,
limpide et propre à la consommation!" dénonce Richard Haas.
La différences entre ces chiffres repose sur les méthodes de détections,
toujours en retard sur les pollutions. "Que faire quand des substances
chimiques [tels que les perturbateurs endocriniens] ont des effets à des
concentrations si faibles qu'elles sont difficilement détectables ?" demande
le reportage Quand la chimie contamine notre eau.
Parmi ces substances chimiques, les "Produits Pharmaceutiques et de Soins
Personnels" (PPSP), autrement dit les résidus de médicaments et de
cosmétiques constituent un épineux problèmes: non seulement ils se déversent
dans les rivières et rendent les poissons stériles mais ils ne sont pas
stoppés par nos usités de traitements des eaux et se retrouvent dans notre
eau du robinet. Nous en reparlerons donc dans cette section.
Un mot par contre sur les dioxines, substances parmi les plus cancérigènes
au monde et que l'on retrouve de plus en plus dans les nappes phréatiques,
sans être aucunement capables de les filtrer... Il s'agit de sous-produits
issus des désherbants et d'agents de préservation du bois ou de
l'incinération des déchets ménagers.
Un mot aussi sur la pollution radioactive de l'eau, résultante, selon les
auteurs Zerluth et Gienger, "de l'utilisation de l'énergie nucléaire et des
essais de bombes atomiques aériens effectués pendant les années 1960" et de
préciser que des associations de consommateurs en Allemagne "ont mis en
évidence cette pollution dans de nombreuses marques d'eau en bouteille."
Source: Next-up
Un mot enfin sur la pollution de l'eau par les ondes électromagnétiques.
"L'eau peut mémoriser les informations des rayonnements nocifs émis par les
satellites, les stations radar, les émetteurs radiophoniques, les émetteurs
de radiocommunication mobile, les micro-ondes, etc. Cela perturbe la
structure de l'eau qui ne peut plus mener à bien ses tâches." précisent
Josef Zerluth et Michael Gienger. On imagine donc bien dans quel état peut
se trouver l'eau stockée (dans des châteaux d'eau) sous des antennes relais
émettant en permanence... Sur la problématique des ondes, voir
www.protection-ondes.ch
A qui profitent les pollutions ? s'interroge Yann Olivaux. « Le proverbe "A
quelque chose, malheur est bon" s'applique parfaitement et cyniquement aux
pollutions de l'eau. En effet, d'une part certaines sociétés industrielles
génératrices de polluants aquatiques ont une branche spécialisée dans les
prestations de techniques dépolluantes. Par ailleurs, les opérateurs de
l'eau ont "objectivement" intérêts à ce que les pollutions de l'eau
perdurent puisqu'elles monnayent leur indiscutable savoir-faire en matière
de techniques de dépollution.»
"Dépollution" mais aussi pollutions supplémentaires via les différents
traitements de l'eau dont le chlore, un puissant oxydant destiné à limiter
les microbes, avec le risque au passage de créer des résistances aux
antibiotiques. "L'absorption régulière et prolongée d'une eau désinfectée
par le chlore augmente le rH2 sanguin et prépare le terrain à toute une
série de maladies graves, notamment les cancers" note Yann Olivaux. Voir la
section Eau du robinet.
Une pollution exportée dans les pays en développement
Globalement, la chimie s'est développée sans vergogne et avec la bénédiction
des pouvoirs publics mais de grands progrès ont quand même été faits en
Europe depuis la révolution industrielle en matière de pollution
industrielle. Il n'en va pas de même dans les pays en développement qui
alimentent notre frénésie de consommation à bas coûts. Qui dit bas coûts dit
coups bas et il serait temps pour nous de percevoir que détruire la planète
à l'autre bout du monde, polluer l'eau en Chine ou en Inde ne restera pas
sans conséquence. S'il n'est pas sûr qu'un simple battement d'ailes de
papillon puisse déclencher une tornade à l'autre bout du monde (l'effet
papillon), il est clair que l'achat inconsidéré d'un gadget made in ailleurs
aura des conséquences sociales (exploitation), économiques (chômage,
violence) et environnementales (pollutions diverses).
Le reportage Quand la chimie contamine notre eau analyse la pollution de la
rivière Moussi dans la région d'Hyderabad en Inde des eaux indiennes par une
centaine de groupes pharmaceutiques produisant... pour les occidentaux! La
plupart des médicaments consommés dans le monde sont en effet désormais
produits en Inde, dans des conditions environnementales désastreuses! Un
intérêt supplémentaires à se soigner au naturel via par exemple les huiles
essentielles ?
Des analyses (effectués par le Physiologiste Joakin Larsson) ont révélé
qu'il y avait plus de concentration en médicament dans la boue prélevée à la
sortie de la station d'épuration indienne que dans le sang de patients qui
auraient consommés ces médicaments.
Conclusions: il s'agit de l'eau la plus polluée au monde par des médicaments
avec des concentrations un million de fois supérieur à ce que l'on peut
trouver en Europe!
Les conséquences sont évidemment désastreuses pour les villageois vivant à
proximité de la rivière. "J'ai vu une femme de 25 ans faire 11 fausses
couches [...] Elle est décédée, suite à un infarctus." déclare le médecin
qui s'estime aussi victime des industries pharmaceutiques, ayant perdu sa
santé, son enfant et son épouse... Autre soucis et non des moindres: le
développement dans ces eaux de bactéries résistantes à tous les
antibiotiques connus...
L'impact de la CONsommation
N'en déplaise à certains, c'est donc bien plutôt le CONsommateur qui est le
premier gaspilleur et pollueur de l'eau. Notre pollution domestique via nos
produits d'entretiens et nos toilettes ne pèsent pas grand chose face aux
pollutions générées par notre consommation en roues libres (de caddies®).
Nous avons déjà vu que 96% de l'eau consommée par un citoyen lambda - 4000
litres d'eau par jour! - l'était via la fabrication des biens de
consommation. Voyons maintenant quelques répercussions au travers de trois
exemples significatifs:
Un rapport de Greenpeace de décembre 2010 révélait les conditions
désastreuses - pour les travailleurs et l'environnement - de la production
de jeans et de soutiens gorges dans deux villes chinoises de la province du
Guangdong: Xintang, la "Capitale mondiale du Jeans" avec une production
annuelle de 260 millions de paires et Gurao, une ville-industrie dont 80%
des ressources proviennent des soutiens gorges et autres sous-vêtements.
Résultats ? Des cours d'eau qui ne ressemblent plus à de l'eau, la
disparition de toute vie aquatique, des pollutions aux métaux lourds -
jusqu'à 128 fois la limite chinoise pour le cadmium par exemple - des
pathologies en pagaille chez les ouvriers ou les habitants, des enfants
exploités,... Et tout cela pour quoi ? Des jeans moins chers et un look
denim "délavé" à la mode ?
Rejet d'eau d'une fabrique de denim à Xintang
L'institut d'études économiques et sociales pour la décroissance soutenable
rappelle que "Chaque nouvelle voiture demande pour sa construction 300 000
litres d'eau. L'édification d'un véhicule [...] exige 20 fois plus de
matières premières que son seul poids, soit 30 tonnes pour produire une
voiture de 1,5 tonne". Bon, nous savions tous plus ou moins qu'une voiture
n'était pas très écolo... Mais c'était avant que l'on nous parle de la
"voiture propre", de la voiture hybride qui ne consomme quasiment plus
d'essence mais de l'électricité (d'origine nucléaire ou hydraulique: peu
importe!) Sauf que cette voiture hybride possède deux moteurs et sont donc
beaucoup plus polluantes à fabriquer! En considérant toute les étapes de la
production, l'impact écologique de la Toyota Prius serait ainsi supérieur de
50% au monstrueux 4x4 Hummer! La batterie nécessite notamment du nickel et
des terres rares, très polluant à produire et fort dispendieux en eau.
Autant pour le geste écologique...
Terminons par le banal café. Banal le café ? Nettement moins depuis
l'arrivée des cafés en dosette Nespresso: désormais, on n'a plus le choix
entre un pur arabica du Kenya ou du Guatemala mais entre un "rouge" ou un
"bleu" Désormais, de l'eau chaude et une petite cafetière ne sont plus
suffisante, il convient de disposer d'une machine électrique à dosette, la
plus flashy possible pour épater ses amis. Mais quel rapport avec l'eau me
direz-vous ? Eh bien parce que, selon le WWF, l'empreinte eau d'une tasse de
café est déjà en temps normal de 140 litres d'eau et même 200 litres si on y
ajoute du sucre. Combien de litres avec machine + dosettes ? Nestlé publie
sur son site un chiffre de 0,3 litres d'eau par tasse mais il y a forcément
une erreur quelque part sachant qu'il faut déjà 1000 litres d'eau pour
produite 1 kg d'aluminium. Une chose est sûre: la qualité du café ne vaut
certainement pas le surplus d'eau consommée, n'importe quel torréfacteur
étant capable de vous procurer un café bien plus satisfaisant (sans
amertume) et de vrais grands crus d’arabica pour un coût modique, très loin
des 60 euros le kilo des dosettes…
Ces trois exemples démontrent que si la consommation en eau est universelle,
quelque soit le produit acheté, un énorme gaspillage peut déjà être évité en
ne répondant pas aux sirènes du marketing, en évitant les manipulations. Un
jean bio non délavé (sans marque), une voiture classique (sans double
moteur) ou un café de torréfacteur, non seulement coûteront moins chers à
l'achat mais auront un impact bien moins important sur la planète et sa
ressource la plus précieuse. Vous n'aurez peut-être pas l'air aussi
"branché" mais, aux yeux de ceux qui "savent" - étant entendu que nous
sommes tous ignorants avant de savoir quelque chose - vous aurez l'air moins
"CON...sommateur"! Vous serez naturellement passés de la CONsommation à la
consomm'ACTION...
Source (de perspectives):
José Bové, François Dufour, Le monde n'est pas une marchandise, Editions La
Découverte, 2000, p.83
Olivier Petitjean, La pollution de l’eau d’origine agricole en France et en
Europe, www.partagedeseaux.info
La pollution par les nitrates, www.cnrs.fr
Yann Olivaux, La nature de l'eau, Ed. Marco Pietteur, 2007
Claude et Lydia Bourguignon, Le sol la terre et les champs, Editions Sang de
la terre, p.11
Josef Zerluth et Michael Gienger, L'eau et ses secrets, Editions Désiris,
2006, p.111
Isabelle Meiffren, Philippe Pointereau, Munich : le « bio » pour une eau non
traitée, www.partagedeseaux.info
Richard Haas, Comment purifier et revitaliser votre eau de table, Editions
Chariot d'Or, 2014
www.lemieuxetre.ch / www.solutionsbio.ch / www.8fondamentaux.com
Consulting Ecologique / Benoît Saint Girons / Tél: +41 76 532 8838 /
bsg[at]solutionsbio.ch
© Benoît Saint Girons - Tous droits réservés - Données indicatives non
contractuelles et susceptibles de modifications
Le business de
l'eau
Eau Naturelle : de l'eau morte et polluée vers une eau
pure et vivante!